Ebook Gratuit , by Greg Egan

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Détails sur le produit

Format : Format Kindle

Taille du fichier : 1045 KB

Nombre de pages de l'édition imprimée : 400 pages

Editeur : Le Bélial (30 mai 2019)

Vendu par : Amazon Media EU S.Ã r.l.

Langue : Français

ASIN: B07R8VF745

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Moyenne des commentaires client :

4.0 étoiles sur 5

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Classement des meilleures ventes d'Amazon:

n°2.759 dans la Boutique Kindle (Voir le Top 100 dans la Boutique Kindle)

Diaspora débute en 2975. Depuis la fin du XXIe siècle, des humains ont choisi de laisser derrière eux la vie biologique et ont téléchargé leur personnalité. Notons que cette forme extrême de transhumanisme est une des marottes d’Egan, et se retrouve dans plusieurs de ses textes. Neuf siècles plus tard, l’humanité se divise en trois groupes distincts dont les contacts, peu nombreux, sont soumis à des règles strictes de respect distant et de non intervention.Le groupe le plus vaste, celui dont le roman suit le développement, est constitué des citoyens (Citizens). Ceux-ci ont opté pour la dématérialisation complète et existent sous forme de programmes informatiques. Ils vivent dans des polis, sorte de métropoles dont les supports physiques sont des centres de stockage de données enfouis profondément sous terre. Les citoyens de première génération viennent de la digitalisation d’humains biologiques. De nouveaux citoyens sont créés par clonage d’un individu, par mélange des ADN synthétiques de deux parents, ou par génération d’orphelins. Le premier chapitre du livre est un moment de hard-SF à lui tout seul et décrit la création d’un orphelin et son éveil à la conscience. Véritable tour de force science-fictif, ce chapitre justifie entièrement l’achat du roman. Ou aurait pu constituer une nouvelle. (L’un des chapitres a d’ailleurs été publié presque à l’identique, deux ans avant le roman, dans la nouvelle Wang’s Carpets, que l’on retrouve sous le titre Les Tapis de Wang en français dans le recueil Océanique.) Et ce n’est que le début !Un roman ne pouvant faire abstraction complète d’une nécessaire empathie entre ses lecteurs et ses personnages, Greg Egan n’écrit pas des pages et des pages de code informatique et ne fait pas le récit d’influx électriques sur des substrats de semi-conducteurs, alors que c’est réellement cela qui se passe. Pour préserver la santé mentale de ses lecteurs, et aussi garder un lectorat, il choisit de faire interagir les citoyens dans des simulations d’environnements sous la forme d’avatars. On respire ! Le roman suit ainsi les aventures de quelques citoyens dématérialisés aux personnalités bien établies et identifiables.Le second groupe, en terme de population, est constitué des gleisners. Eux aussi ont choisi une vie sous la forme de programmes informatiques, mais sont restés attachés à une certaine matérialité et ont adopté des corps de robots synthétiques. Contrairement aux Citizens, qui vivent 800 fois plus vite que les humains biologiques, les gleisners vivent en temps « normal ». Ils ont accepté de quitter la Terre pour éviter les conflits et vivent essentiellement dans l’espace, ayant colonisé le système solaire. Alors que les citoyens des polis développent une science théorique, les gleisners ont une science appliquée et construisent des observatoires, des vaisseaux spatiaux…Le troisième groupe, composé de quelques dizaines de milliers d’individus, est constitué des fleshers. Eux ont choisi de s’accrocher à la biologie, à la surface de la Terre, soit sous la forme conservatrice d’Homo sapiens, soit sous une forme transhumaniste en modifiant, parfois radicalement, leur génome.Le drame et la diasporaUn incident cosmique, l’écroulement d’une double étoile à neutrons, va déclencher un cataclysme sur la Terre et mettre un terme à cette organisation humaine. La survie de l’humanité va passer par la nécessaire évasion vers d’autres horizons. C’est ainsi que va se constituer une diaspora humaine et interstellaire. Les gleisners s’envolent à bord de leurs 23 vaisseaux spatiaux vers différentes destinations dans la galaxie. Les citoyens vont mille fois se cloner et se répandre dans l’univers. Sans pour autant quitter totalement la Terre pour une partie d’entre eux. Dans un premier temps, leur but sera de tenter de comprendre comment cet incident cosmique a pu se produire. Cela va les emmener dans une exploration de la galaxie et au-delà , à la rencontre d’autres formes de vie, et à remettre en question leur vision de l’univers, de sa physique et de son histoire.De nouveaux paradigmesJe serais tenté, pour simplifier, de diviser les écrits de Greg Egan en deux grandes catégories. Ceux qui relèvent de la fiction spéculative à court terme, dans laquelle il explore les conséquences d’une nouvelle technologie. C’est la forme que l’on retrouve dans beaucoup de ses nouvelles ou dans les romans L’énigme de l’univers, Téranésie, Isolation, ou La cité des permutants. Et ceux qui relèvent des mondes imaginaires, à l’image de la trilogie Orthogonal ou des romans Dichronauts et Phoresis. Entre les deux, il arrive à Egan de partir de notre monde, de se projeter dans l’espace et d’y explorer la physique. C’est le cas des romans Schild’s Ladder et Diaspora. Schild’s Ladder est difficile d’accès. Diaspora ne l’est pas. Il faut bien sûr supporter la lecture d’explications scientifiques, mais dans ce roman Greg Egan fait l’effort d’expliquer clairement, d’illustrer avec des images simples, pour parler d’une physique hypothétique, inspirée des travaux réels de John Wheeler. Greg Egan imagine un univers en plus de dimensions qu’il n’en faut pour avoir le vertige. Il échafaude des modèles, les démonte et les remplace par d’autres. Le tout n’est jamais indigeste (en fonction de votre degré de tolérance), et surtout cela sert le propos. Contrairement à Schild’s Ladder, où la physique est le personnage principal et quasi-exclusif du roman, la thématique de Diaspora est l’humain. Greg Egan lance une diaspora humaine pour penser la vie, l’existence, pour mieux en éprouver les contours. Il centre son questionnement sur ce qui fait l’humain au-delà du corps biologique, au-delà de la physique de l’univers tel qu’on le connait. Plus on avance dans le roman, et plus les choses accélèrent et prennent de l’ampleur. La partie finale s’inscrit dans la démesure de ce qui se fait de mieux au niveau sense of wonder en SF. Préparez-vous à voir grand.

Greg Egan, légende vivante du monde de la science-fiction moderne, revient aux éditions du Bélial’ après de nombreuses années d’absence…du moins dans la forme longue puisque la dernière traduction d’un de ses romans remonte à 2012 avec Zendegi.Auteur très prolifique, l’australien est également connu pour ses textes courts franchement formidables que l’on peut retrouver dans trois intégrales indispensables : Axiomatique, Radieux et Océanique.Bien décidé à publier dans l’Hexagone l’un de ses romans les plus remarqués, Diaspora, le Bélial’ a donc fini par confier la traduction de ce roman de hard-SF à Francis Lustman pour que le commun des mortels puisse enfin y avoir accès…enfin presque.Rêver en cinq dimensionsTous ceux qui ont approché Greg Egan le savent : sa science-fiction n’est pas des plus aisées, bien au contraire. Si la chose a tendance à moins se ressentir dans ses nouvelles (quoique…), dans la forme longue, il en va tout autrement.Sorti en 1997, Diaspora s’aventure dans un terrain de hard-SF intergalactique multi-dimensionnelle qui a de quoi impressionner.Posons d’abord le cadre.Le récit commence par la naissance d’un citoyen de la polis Konishi — un réseau d’ordinateurs qui sert d’infrastructure à une communauté de logiciels conscients et où des personnalités numérisées peuvent vivre sans limite aucune dans des univers virtuels d’une complexité parfois extrême— et par son éveil à la « conscience ».Dans ce fabuleux premier chapitre, Greg Egan plonge d’emblée son lecteur dans un monde totalement autre mais qui se déguste lentement comme une peinture abstraite où quelques points de repères permettent de comprendre le lent processus de maturation de l’entité appelée Orphelin et qui deviendra rapidement le citoyen Yatima. C’est beau, vertigineux…et passablement hermétique parfois. Mais soit.Pour la suite, Greg Egan, par petites touches, dévoile une société post-Introde fascinante et vertigineuse.Qu’est-ce que l’Introde ? La migration de masse des humains de chair et de sang qui a eu lieu vers la fin du XXIIème siècle pour intégrer les environnements virtuels des polis.Il existe donc trois « populations » qui cohabitent : les citoyens numérisés des polis, les enchairés (ceux qui ont choisi de rester de chair et d’os) divisés eux-mêmes en statiques (uniquement composés de gênes naturels) et en exubérants (qui n’ont aucune limite dans la manipulation de leurs gênes), et les gleisners, des robots conscients qui ont une existence matérielle.De ce cadre déjà fantastiquement riche, Greg Egan se charge de nous faire rêver sur les conséquences de ces modifications à la fois sur l’homme lui-même mais aussi sur sa perception de l’univers connu. Par le truchement de l’explosion de deux étoiles à neutrons surnommées Le Lézard, l’australien disserte sur la quête de sens et l’origine de l’existence (et même de l’univers) en suivant les multiples vies de citoyens des polis tels que Yatima, Paolo, Blanca ou encore Orlando.Y’a pas de lézard, si ?Le problème qui vient brutalement s’interposer entre le lecteur enthousiaste et cette histoire aux tenants et aboutissants gigantesques…c’est la propension à la hard-SF de Greg Egan.Ce n’est une surprise pour personne mais l’australien n’a pas l’intention de modérer ses propos et l’on se retrouve vite immergé dans des théories physiques et quantiques de haut niveau, dans des mathématiques plus ou moins abstraits et des dialogues parfois…surréalistes du style :« Confiner spatialement une onde produit l’effet inverse sur la répartition de son moment. L’énergie cinétique, étant proportionnelle au carré du moment, est donc en carré inverse. De sorte que la force effective, qui est égale au taux de variation de l’énergie cinétique avec la distance, est en cube inverse. »Si la volonté d’appuyer les péripéties de son voyage vers l’inconnu et la recherche d’une vie extraterrestre peut amplement se comprendre, l’hermétisme gagne le récit au fur et à mesure des pages et fluctue selon les événements présentés. Lorsque Greg Egan nous fait découvrir une planète et se contente de décrire les formes de vies qui l’habitent, tout se passe plus ou moins bien. Dès lors qu’il plonge dans les mystères de l’univers, dans les bosons, fermions, macrosphère, horizon des événements et autres théories, le récit devient simplement indigeste au possible.En privilégiant la pure construction scientifique au reste, il laisse le lecteur en plan qui se demande ce qu’il se passe et doit juste se contenter de rassembler quelques petits brins de compréhension décrochés ici ou là .Il n’est pas impossible de suivre les événements de Diaspora, au contraire, mais l’on se trouve régulièrement empêtré dans des considérations qui nous dépassent totalement…et c’est particulièrement désagréable et épuisant.D’autant plus que le récit n’est pas aidé par l’écriture traditionnellement aride de Greg Egan qui ne permet donc d’avoir aucune espèce d’empathie avec des personnages plus proches du robot que de l’être humain (forcément).Vers l’infini et l’au-delà Ce handicap majeur à la lecture n’empêche cependant pas l’ébahissement face au sense-of-wonder déployé par Greg Egan.En visitant de multiples autres planètes, puis univers et en réfléchissant sur les chemins d’évolutions possibles de la post-humanité à travers les polis, l’australien impressionne. Sa capacité à imaginer un futur qui donne le vertige (notamment par les échelles temporelles employées ici) ne peut que réjouir le lecteur de science-fiction.Xénobiologie et nouvelles dimensions, Diaspora offre des visions saisissantes qui marquent durablement. Si le reste du récit ne s’embourbait pas régulièrement dans de lassantes considérations physico-mathématiques, on aurait clairement à faire à un chef d’oeuvre du genre.D’autant plus que l’australien réfléchit ici sur le rôle de la curiosité intellectuelle qui pousse l’homme (et le post-humain qui lui succède) à aller toujours et sans cesse plus loin. Diaspora renferme une frénésie intellectuelle particulièrement remarquable qui sait aussi s’interroger sur les vieux motifs de l’humanité (et sur ses croyances) ainsi que sur l’importance d’interagir avec le monde réel, ce monde physique où la chair rencontre la matière.Doit-on expérimenter par le toucher et les quatre dimension pour véritablement exister ?Greg Egan passionne quand il confronte ces points de vues, éblouit quand il nous fait rencontrer des civilisations extra-terrestres improbables, réjouit quand il tire vers l’infini son roman vers une fin ouverte qui veut à la fois aller plus loin et savourer l’instant.Dommage qu’il ne comprenne simplement pas qu’un roman digne de ce nom fonctionne d’abord avec une trame narrative et des personnages plutôt qu’avec des nombres et des équations.Les mathématiques ne suffisent pas.Roman vertigineux qui offre du sense-of-wonder jusqu’à l’étourdissement, Diaspora expose un (des ? ) univers extraordinaire à son lecteur mais oublie que le commun des mortels n’a pas forcément l’envie qu’on lui parle de physique et de mathématiques pendant des pages et des pages pour apprécier le spectacle des atomes et des étoiles. Une grande déception qui dépendra aussi certainement de votre niveau de connaissance scientifique et/ou de votre persévérance.Justaword.fr

What an incredible book. I was intimidated at first and a little turned off by some of the reviews, but I am so glad I read this book as it is possibly my favorite sci-fi book ever. Yes, it is challenging and some of it I didn't understand, but its written in a way that you don't have to understand all of it to understand the story. It is probably necessary to have some basic knowledge of modern cosmological theories and AI speculation, and yes you will have to pay attention and think about some things, but that's part of the great pleasure of reading this book.Diaspora is written in a mostly straightforward manner, but it almost feels avant garde just because the concepts are so mind-blowing and Greg Egan goes so far with them. This is a story of scientific discovery, of pushing the boundaries all the way, of surviving the ultimate catastrophe. Yes, the characters are not the focus of the story, and yet I felt more connected to them than characters in many other books. I wouldn't trade a single sentence in this book for more "character development". Greg Egan pushes the limits of the imagination so far that I was left speechless in awe and wonder at the worlds being described... which gave me a taste of what the characters might be experiencing, and thus I connected to them strongly.His descriptions of universes with more dimensions than ours got me closer to being able to imagine those higher dimensions than anything else I've read. The way he imagines life on other planets stimulates my imagination beyond the traditional earth-bound imaginings of other books I've read. The AI and virtual reality settings blew so far past my usual thinking that just about anything else seems tame. This is what sci-fi should be, to my tastes - pushing the limits of imagination so far it overwhelms my connection to this reality and I end up fully absorbed in the world being created by the writer.The biggest drawback to this book, for me, is that it has forever shifted my standards for appreciating sci-fi. Fortunately Greg Egan has written several other books, and I'm already looking forward to reading Diaspora again. This book is written for a particular kind of reader, and if you think you might be such a reader, read this book immediately!!!

I'm giving it 3 stars for now because I've barely begun and don't want to be unfair - but what I have read so far was a real struggle, mainly to understand WHAT THE HECK IS GOING ON?! Do these people have, like, physical bodies? Or are they all just Kindle versions of people, existing only on a giant server?The detail of how Yatima comes to be "born," if that's the right word, gets numbing - page after page after page of extraordinarily - and I think unnecessarily - detailed description of exactly every minute step of the way. It's made more difficult to wade through by the author's refusal to give us a break and tell us - is this all happening in a computer? Is there any flesh and blood? Is everybody in this society just an icon, an avatar? And is all this mind-numbing detail absolutely vital to the story unfolding?I hope not, because large parts of it are incomprehensible to me, and I'm not a novice in sci-fi or computerese or the English language. As it is, there is very little "action" - unless you think action means apps or coding or pixels or GUIs or CPUs or mainframes or servers or whatever interacting or syncing or issuing commands with each other (it's hard for me to think of anything less interesting), with no breaks, like, what do they call those things again? Oh yeah, CHAPTERS.Greg Egan may be a good or even great writer, but I haven't seen evidence of that yet, though I have seen plenty of evidence of what amounts to authorial self-indulgence, as if he's writing to please himself instead of readers, and also trying to show us how smart he is.Well, for now, I'll keep plugging away, but it's not enjoyable at all, yet - rather it's a slog. I hope I get to a point, sooner rather than later, when Egan reveals to me exactly what is going on. And oh yeah, why I should care.

There's this one scene in this book where a small society of AI and humans who migrated their consciousness into computer programs are traveling in an intergalactic space ship/super computer and they find this one star system with a planet that has life on it. It's the first time these sentient programs have discovered life outside their own species/ancestors. This life is giant tiles of algae floating on the ocean of the planet, which they deem carpets.The AI spend decades trying to figure out if the carpets are at all sentient, until one of the AI's realizes that the carpets are actually growing and moving in patterns that is computer code... Upon further investigation the the carpets are just one slice of a sixteen-dimensional sentient species...This is just one amazing part of this crazy book. If you're at all into futurism, physics, AI, math and or programming, you need to read this.

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